Des textes anciens comme celui de Celsus (IIème siècle) ainsi que le Talmud racontent que Jésus est né de l’union entre une juive, Marie, avec un soldat romain nommé Pantera.
Beaucoup de « Chrétiens » sont offusqués en apprenant cela. Ils ne le seraient pas s’ils étaient de vrais Chrétiens.
Un véritable Chrétien ne s’offusque pas qu’un fils de prostituée soit le Messie.
Pourquoi ? Car les prostituées sont des victimes de réseaux mafieux. Il faut donc les aimer encore plus. Qu’une femme ayant eu une vie si difficile et malgré cela soit amenée à mettre au monde le Sauveur de l’Humanité, est, symboliquement, en parfaite adéquation avec le dévoilement de la dimension messianique.
Les récits mythiques qui décrivent la lignée davidique, les ancêtres du Messie, ont en commun de parler d’inceste, de prostitution, etc.
Comme si le Machia’h devait venir de façon cachée, de manière « pas très catholique ».
Le Messie a une ascendance douteuse :
Les deux filles de Loth ont couché avec leur père pour lui donner une descendance.
Tamar a dû se déguiser en prostituée pour s’unir avec Judas et enfanter Peretz.
Le père du Roi David le soupçonnait de ne pas être son fils biologique. Lorsqu’il devint roi, on le soupçonna de ne pas être Juif car descendant de Ruth (elle-même descendante de Loth), une convertie de Moab.
De même, il est écrit dans le Talmud que Jésus était appelé « fils de Stada », parce que ce nom a été donné à sa mère Miriam / Marie, soupçonnée d’être une « Sotah « , c’est-à-dire, d’avoir « dévié » et commis un adultère avec un soldat romain (Talmud, Shabbat 104b). Ce Jésus, élève, de Yehoshoua ben Perachyah, vivait du temps du roi Alexandre Jannée (règne : -103 à -76).
Les rabbins ont également confondu cette Marie avec la femme de Pappos ben Yehouda (Talmud, Sanhédrin 67a) : son mari l’enfermait car il la soupçonnait d’adultère.
Cet autre Jésus du Talmud à, lui, vécu du temps de Rabbi Akiva, au 2ème siècle.
Le Jésus des Évangiles et les 2 Jésus du Talmud sont donc 3 personnages différents, 3 créations littéraires différentes.
Le véritable Messie n’est pas Jésus. Il est bien réel. C’est Je Suis, c’est un enfant de la France.
En hébreu, France se dit « Tsarfat » dont on retrouve les lettres dans le mot « Pritsout » (« Débauche », « Luxure ») : la femme française est universellement reconnue pour incarner la débauche.
צרפת
פריצות
La France est le pays de Marianne, mais aussi celui du culte idolâtre de Marie, du culte marial, de la pénétration par les forces du mal : c’est la Fille aînée de l’Église romaine, la « pute française ».
« Tsarfat » (« France » en hébreu)
צרפת
Guematria = 770
= guematria de « Beit Machia’h » (« Maison du Messie »)
בית משיח
= guematria (avec finales) de « Ben Zona » (« Fils de Prostituée »)
בן זונה
La Nouvelle Église catholique est là pour casser les dogmes. En devenant de véritables Chrétiens, des Chrétiens qui ne s’offusquent pas quand on dit que le Messie est un fils de prostituée, alors la dimension féminine du Divin ne fera plus la « pute » avec nous et se comportera en Princesse.